Salaires non versés, acomptes ridicules, non réemploi, dégradation des conditions d’emploi et de travail, cette rentrée est la pire connue par les AESH.
Si la situation est si dramatique, c’est parce que les AESH restent dans une précarité maximale depuis des années, sans statut ni reconnaissance salariale.
Le ministre continue pourtant de minimiser la situation et prétend avoir amélioré les conditions d’emploi des AESH.
Toutes les détails dans notre publication : De meilleures conditions de travail pour les AESH